Les séries statistiques présentées sur le site de l'OFDT décrivent de manière concise l'évolution de divers indicateurs significatifs du phénomène des drogues et des toxicomanies en France, à travers une sélection de graphiques auxquels sont attachées plusieurs informations : constat, source, éventuellement repères méthodologiques et liens vers des informations approfondies.
Dix fiches ont été mises à jour sur le site de l'OFDT
- Évolution du nombre de nouveaux cas de sida liés à l’usage de drogues par voie injectable depuis 1995
- Évolution du nombre de décès au stade sida chez les usagers de drogues par voie injectable depuis 1998
- Évolution du nombre de décès par surdose depuis 1985
- Les saisies des principaux produits stupéfiants depuis 1996 (Nombre et quantités saisies)
- Évolution des accidents mortels de la route et des accidents mortels avec un conducteur présentant une alcoolémie positive en France depuis 1995
- Évolution du nombre et du pourcentage de dépistages positifs d’alcoolémie en France depuis 1991
- Évolution du nombre de découvertes de séropositivité VIH liée à l’usage de drogues par voie injectable depuis 2003
- Evolution de la consommation de buprénophine haut dosage et de méthadone depuis 1995
- Evolution du nombre de personnes remboursées d’un médicament de substitution aux opiacés entre 2011 et 2015
- Évolution de la prévalence de l’infection par le virus de l’hépatite C chez les usagers de drogues par voie injectable
La plateforme MAAD Digital est conçue avec le concours de partenaires publics, de jeunes, de chercheurs et d'acteurs de la médiation scientifique. Elle s'appuit sur les travaux de la recherche scientifique pour diffuser une information sur les Mécanismes des Addictions à l'Alcool et aux Drogues qui soit accessible aux adolescents.
MAAD DIGITAL a pour but de produire et diffuser de l'information scientifique sur les addictions en direction des jeunes. Partant du constat que l'information sur ce sujet n'était pas toujours vérifiée et entourée de nombreux mythes, l'Institut national de santé et de recherche médicale (Inserm) a décidé de piloter un dispositif digital et interactif adapté aux usages et langages des 13 - 19 ans. Afin de construire un ensemble cohérent et pertinent, des groupes de jeunes ont été associés à la conception de MAAD Digital et à la rédaction ou la relecture d'une partie des contenus.
BIGAUD Alain, BASSET Bernard, LECAS FRanck (et al.)
Risque alcool. Quelle politique mener ?
Décryptages, n°23, 2017, 15 p.
Les risques et les dommages sanitaires et sociaux liés à la consommation d'alcool sont de mieux en mieux connus grâce aux récents travaux scientifiques. Ces dommages considérables, individuellement et collectivement, doivent conduire les autorités sanitaires à une réponse cohérente, sereine mais résolue via un plan national de réduction des dommages.
La base ODICER (Observation des drogues pour l'information sur les comportements en régions) de l'OFDT présente près de 700 indicateurs sur les drogues aux plans régional et départemental, en France métropolitaine et dans les DOM.
Six nouveaux indicateurs peuvent aujourd'hui être cartographiés :
- Décès liés au tabac chez les hommes
- Décès liés au tabac chez les femmes
- Décès liés à l'alcool chez les hommes
- Décès liés à l'alcool chez les femmes
- Sex-ratio des décès liés au tabac
- Sex-ratio des décès liés à l'alcool
BERTRAND Karine, TREMBLAY Joël, ARANDA Jorge Flores (et al.)
Jeunes et toxicomanie
Drogues, santé et société, vol. 14, n° 1, 2015, 232 p.
Sommaire : Prévention secondaire des dommages liés aux substances psychoactives chez les jeunes Français ; L’impact de la concomitance de troubles liés à la consommation de substance et de troubles de santé mentale sur les comportements à risque en fonction de l’âge ; Consommation de substances psychoactives et sexualité chez les jeunes : une vision globale de la sphère sexuelle ; Consommation problématique de substances psychoactives et comportements sexuels à risque chez les adolescents admis en centre jeunesse ; Jeu pathologique et troubles liés à l’utilisation de substances : effet de l’incidence à un jeune âge et de la personnalité ; La prise de risque chez les jeunes contrevenants montréalais ; Qui sont les preneuses de risque ? L’intention d’adopter des conduites à risque chez les étudiantes postsecondaires québécoises ; Dépression et toxicomanie à l’adolescence : intervenir ensemble pour prévenir le suicide ; Activités et types de jeux reliés aux problèmes de consommation de substances chez les jeunes
Consulter le document sur le site http://cqdt.dependancemontreal.ca
YOLO Companion est une application développée par l’Agence Régionale de Santé de Bourgogne et l’Ireps de Bourgogne, pour prévenir la surconsommation d'alcool chez les jeunes. Le sigle traduit « You Only Live Once » (« tu n’as qu’une vie », « on ne vit qu’une fois ») vise à séduire le public des 14-18 ans, l’expression étant couramment utilisée sur les réseaux sociaux. « Tu n’as qu’une vie, protège-là » réplique en quelque sorte l’application qui propose plusieurs fonctionnalités pour évaluer son alcoolémie, tester ses connaissances, se confronter à des situations à risques…
YOLO COMPANION répond à une double préoccupation de santé publique dans la lutte contre les addictions :
Télécharger l'application sur le site http://www.dmdpost.com
Dans le cadre du parcours de santé des élèves, cette page regroupe un ensemble de fiches pédagogiques sur les conduites addictives qui peuvent être utilisées pour le CM2, le collège et le lycée.
Consulter les documents sur le site du Portail national des professionnels de l'éducation (Eduscol)
Institut national de sécurité routière et de recherches (INSERR), MARTINEAU Hélène
Alcoolomanie. Enquête sur les pratiques des médecins des commissions médicales en matière de dépistage et de prise en compte des usages à risque d’alcool chez les conducteurs. Convention n°22.00.65.76.12 entre la DSCR (ministère de l’intérieur) et l’INSERR
Institut national de sécurité routière et de recherches (INSERR), 2014, 74 p.
L’Institut National de Sécurité Routière et de Recherches (INSERR), à la demande du Ministère de l’Intérieur, a réalisé une enquête auprès de 1 547 médecins et leurs pratiques en terme de repérage des usages à risque de produits psychoactifs, dont l’alcool, chez les conducteurs accueillis pour une visite d’aptitude au permis de conduire. Ce constat inquiète compte tenu de l’enjeu de sécurité routière que constitue encore l’alcool au volant. Cela a conduit la Délégation à la Sécurité et la circulation routières (DSCR) à entreprendre un travail de refonte du système de contrôle médical de l’aptitude à la conduite.