Veille cancer

Evaluation du programme de dépistage du cancer colorectal. Taux de participation au programme de dépistage organisé du cancer colorectal 2009-2010

Institut de veille sanitaire (InVS).Evaluation du programme de dépistage du cancer colorectal. Taux de participation au programme de dépistage organisé du cancer colorectal 2009-2010. Saint-Maurice :  Institut de veille sanitaire (InVS). [en ligne]. 28 février 2011. http://www.invs.sante.fr/display/?doc=surveillance/cancers_depistage/participation_depistage_colorectal_2009_2010.htm. (page consultée le 16 mars 2011).

Le dépistage organisé du cancer colorectal a été généralisé à tout le territoire français en 2008. Le dépistage est coordonné au niveau local par une structure de gestion (une structure pour un ou plusieurs départements, au total 89 structures de gestion pour 99 départements). Les taux de participation, calculés pour les années 2009 et 2010, sont présentés dans ce document.

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L'ABC du papillomavirus

L'association Hup-ado et la mutuelle Partenamut (Belgique) ont créés un série de powerpoints (sous cd-rom) sur la thématique du Papillomavirus afin de prévenir cette maladie auprès des jeunes filles.

 

L'ABC de l' HPV (années 1 et 2)

 

 

L'ABC de l' HPV (années 3 et 4)

Cancers professionnels et inégalités sociales

Institut national du cancer (INCa). Cancers professionnels et inégalités sociales. Boulogne-Billancourt : Institut national du cancer (INCa), 2010, 4 p.

La situation française face aux inégalités sociales de santé est désormais bien connue : malgré de bons indicateurs généraux de santé, la France fait état d’importantes inégalités de santé1 au regard de ce qui existe dans les autres pays d’Europe de l’Ouest. Différentes études épidémiologiques ou cohortes, notamment l’enquête Sumer 2003, lient les expositions aux cancérogènes en milieu professionnel avec les catégories socioprofessionnelles ou les branches d’activités. Elles ont ainsi permis de mettre en évidence d’importantes inégalités à différents niveaux de la prévention des cancers professionnels2. Ces inégalités, liées aux expositions aux cancérogènes en milieu professionnel, à la surveillance et la réparation des pathologies liées à ces expositions et à la mise en oeuvre de la prévention, de la formation et de l’information dans ce domaine, sont désormais mieux prises en compte dans les politiques publiques.

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Risques de cancers et produits du tabac « sans fumée »

Institut national du cancer (INCa). Risques de cancers et produits du tabac « sans fumée ». Boulogne-Billancourt : Institut national du cancer (INCa), 2010, 4 p.

Le terme de « produits de tabac sans fumée » désigne le tabac « à priser » ou « à chiquer ». La consommation de tabac sans fumée a été pendant longtemps très répandue dans le monde. Dans certaines régions du monde, elle demeure encore la forme la plus répandue du tabagisme. La cancérogéncité des produits du tabac sans fumée est prouvée : ils sont à l’origine de cancers des voies aérodigestives supérieures, de l’oesophage, et du pancréas (OMS, 2006).Par ailleurs, les produits du tabac sans fumée, consommés majoritairement par les jeunes, sont fortement addictifs et conduisent à la consommation de produits à fumer.

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Risque de cancers et cannabis

Institut national du cancer (INCa)., Deutsch L. Risque de cancers et cannabis. Boulogne-Billancourt: Institut national du cancer (INCa), 2010, 2 p.

D’après une étude menée en 2006 1, la fumée d’un joint est beaucoup plus toxique que celle du tabac. Sa consommation fait inhaler six à sept fois plus de goudrons et demonoxyde de carbone que la cigarette.

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La Chicha et risques pour la santé

Institut national du cancer (INCa). La Chicha et risques pour la santé. Boulogne-Billancourt : Institut national du cancer (INCa), 2010, 2 p.

La perception répandue que fumer la chicha est plus sain que de fumer la cigarette et donc moins meurtrier, explique le nombre croissant d’adeptes 7. Or, comme toutes les fumées de substances organiques qui brulent, celles de la chicha libèrent, lors de la combustion, près de 4000 substances chimiques, dont nombre d’entre eux sont toxiques, irritants et/ou cancérogènes.

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Alcool et cancers

Institut national du cancer (INCa). Alcool et cancers. Boulogne-Billancourt : Institut national du cancer (INCa), 2011, 8 p.

La consommation de boissons alcoolisées augmente le risque des cancers des voies aéro­digestives supérieures, de l’oesophage, du côlon-rectum, du sein et du foie. L’augmenta­tion de risque dépend de la dose consommée et non du type d’alcool. La consommation de boissons alcooli­sées est aussi en France la deuxième cause de mortalité évitable par cancers, après le tabac.

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Cancers et tabagisme passif

Institut national du cancer (INCa). Cancers et tabagisme passif. Boulogne-Billancourt : Institut national du cancer (INCa), 2010, 4 p.

Le tabagisme est responsable de 13 cancers, dont le plus mortel est le cancer du poumon (Gandini et al. 2008). Ses effets néfastes ne sont donc plus à démontrer. En ce qui concerne le tabagisme passif, il est également responsable de cancers du poumon et de nombreuses autres maladies avec un certain nombre de maladies non-néoplasiques, telles que les maladies coronariennes, les symptômes respiratoires chroniques, et la mort subite du nourrisson (CIRC 2008).

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Tabac et cancers dans le monde

Institut national du cancer (INCa). Tabac et cancers dans le monde . Boulogne-Billancourt : Institut national du cancer (INCa), 2010, 6 p.

À l’échelle internationale, l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) estime que 5.4 millions de décès par an sont imputables au tabagisme, soit plus que la tuberculose, le HIV/SIDA et la malaria combinés. Si la tendance actuelle se poursuit, ce chiffre pourrait atteindre 8millions par an en 2030. Près de 80% des morts liées aux tabacs concerneraient alors les pays en développement, devenus la nouvelle cible des industries du tabac en termes de marché économique (Mpower-OMS, 2008).

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Nutrition et prévention des cancers

Institut national du cancer (INCa).Nutrition et prévention des cancers. Boulogne-Billancourt : Institut national du cancer (INCa), 2010, 4 p.

Les recherches des quarante dernières années ont montré l’influence de la nutrition sur la survenue de certains cancers. Source de facteurs de risque et de facteurs protecteurs, la nutrition qui englobe à la fois l’alimentation et l’activité physique fait partie des facteurs comportementaux sur lesquels il est possible d’agir pour accroître la prévention des cancers..

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