Santé mentale et santé publique : distance et proximité de disciplines connexes
Rhizome, N°52, juin 2014, 16 p
" Alors que les définitions de la santé publique ont varié selon les écoles et les époques, on peut toutefois distinguer deux grandes perspectives.
Dans la première, les prescriptions de santé publique sont définies a priori par des données épidémiologiques et mises en œuvre par des politiques publiques populationnelles qui tentent d’évaluer leur impact en termes de diminution de prévalence et d’incidence des pathologies.
Une seconde option, plus réflexive, tente de comprendre ce que fait faire cette visée de santé publique aux praticiens de la relation de cure ou care qui, soit négligent ces savoirs, soit s’en accommodent ou se revendiquent (au moins pour partie) de cette rationalité statistique et épidémiologique pour argumenter et agir. Nous avons fait le choix ici de privilégier cette seconde perspective. ...... " (extrait de l'éditorial du bulletin national santé mentale et précarité Rhizome, de juin 2014, publié par l’Observatoire National des pratiques en Santé Mentale et Précarité)
Consulter le document sur le site de ’lObservatoire National des pratiques en Santé Mentale et Précarité