Proposer des sessions d’éducation délivrées par des pairs aux consommateurs de drogues par voie intraveineuse permet de réduire significativement les pratiques à risque de transmission du VIH et du virus de l’hépatite C (VHC). Ce type d’intervention communautaire, facilement transposable, a été évalué dans le cadre de l’étude ANRS AERLI (Accompagnement et Education aux Risques Liés à l’Injection), réalisée conjointement par l'association AIDES, Médecins du Monde et l'Inserm U912 (Marseille). Les résultats sont présentés en communication orale lors de la 20e conférence internationale sur le sida organisée par l’International Aids Society à Melbourne (Australie) du 20 au 25 juillet 2014.
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