Le cannabis contient une molécule extrêmement nocive qui entraîne perte de mémoire, de motivation et risque de dépression, particulièrement chez les personnes les plus jeunes. Pier Vincenzo Piazza et son équipe de recherche de l’Inserm, à Bordeaux, travaillent actuellement sur une hormone, la prégnénolone, qui pourrait bloquer les effets dangereux du cannabis. Résultats chez l’homme attendus à l’échéance de quelques mois.
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