Veille addictions

Usage de substances et COVID-19 (document canadien)

Centre canadien sur les dépendances et l’usage de substances
Usage de substances et COVID-19
Centre canadien sur les dépendances et l’usage de substances, 2020, [en ligne.]
 Ce site propose une liste de ressources tirées de sites Web et d’organisations de partout dans le monde ainsi que de publications d'experts. A été réuni une documentation à partir de sources considérées dignes de confiance et crédibles.

Consulter le document sur le site du Centre canadien sur les dépendances et l’usage de substances

 

Tabac, Alcool : l’impact du confinement sur la consommation des Français

Mission interministérielle de lutte contre les drogues et les conduites addictives (MILDECA)
Tabac, Alcool : l’impact du confinement sur la consommation des Français
MILDECA, 2020, [en ligne].

Le confinement vécu depuis quelques semaines est une expérience inédite pour tous. Alors que le Covid-19 inquiète et mobilise toute l’attention, qu’en est-il de la santé des Français et de leurs comportements? Pour le savoir, Santé publique France a lancé depuis le début du confinement une étude en plusieurs vagues auprès de la population pour connaître ses comportements et leurs évolutions. Selon cette enquête, environ un quart des fumeurs déclare avoir augmenté sa consommation de tabac. L'évolution des usages d'alcool semble moins défavorable, avec environ un consommateur sur dix déclarant avoir augmenté sa consommation mais un sur cinq l'avoir diminuée.

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L'essentiel sur la réduction des risques et des dommages : une politique inscrite dans la loi, entre humanisme, sciences et pragmatisme

Mission interministérielle de lutte contre les drogues et les conduites addictives (MILDECA)
L'essentiel sur la réduction des risques et des dommages : une politique inscrite dans la loi, entre humanisme, sciences et pragmatisme
Mission interministérielle de lutte contre les drogues et les conduites addictives (MILDECA), 2020-04, 4 p.

La consommation de produits psychoactifs (alcool, tabac, drogues) comporte des risques sanitaires et peut provoquer des dommages sociaux. La réduction des risques et des dommages (RDRD), sans nier le caractère illicite de certains usages, permet de considérer l’addiction comme une maladie chronique. Elle s’adresse également aux personnes non dépendantes dont les pratiques s’avèrent particulièrement dangereuses. Elle reconnaît que l’arrêt de la consommation n’est pas possible pour certaines personnes, à certains moments de leur trajectoire, et qu’il faut alors mobiliser des leviers pragmatiques et adaptés pour améliorer leur qualité de vie.

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