"BLOG NOTES"

La loi HPST « hopital patient santé territoire » a été définitivement adopté au sénat

La gouvernance des hôpitaux publics a été remaniée, avec un pouvoir accru accordé aux directeurs au détriment de celui des chefs de service. Ce pouvoir a encore été renforcé par un dernier amendement, lors du vote le 23 juin transformant l'obligation par le Directeur de prendre l'avis du directoire de l'hôpital (où siègent une majorité de médecins) en une simple concertation, lors de l'élaboration de la politique générale de l'établissement.
La création d'Agences Régionales de Santé (ARS), qui devront organiser l'ensemble du système de soins régional est repoussée pour leur date opérationnelle de janvier 2010 à l'été 2010.
Le volet prévention de la loi, souligné par la Ministre, interdit notamment la vente de cigarettes, bonbons, la vente d'alcool aux mineurs et les open bars. Elle limite également légèrement les horaires de vente d'alcool dans les stations-services. Par contre, elle autorise la publicité pour l'alcool sur internet, le média préféré des jeunes. Un point en complète contradiction avec les mesures de prévention précédentes qui est largement dénoncé par de nombreux professionnels de santé.

Projet de loi adopté

Amendement

Santé des étudiants

L’USEM, l’Union nationale des mutuelles étudiantes régionales, publie les résultats de sa 6^e enquête nationale sur la santé des étudiants. Réalisée tous les 2 ans, depuis 1999, l’enquête a pour objectif de mieux connaître l'état de santé des étudiants, leur accès aux soins et leurs comportements à risque (consommations de produits psycho actifs). Si une grande majorité des étudiants déclarent être en bonne santé (94,8%), des disparités sont observées, les étudiants des filières littéraires et de sciences humaines étant moins nombreux à se déclarer en bonne santé (93,1% contre 95% des étudiants des filières de sciences et ingénieur), et ayant une vision négative de l’avenir (18,5% contre 6,2% des étudiants des filières médicales ou paramédicales). 40% des répondants déclarent renoncer aux soins en raison du coût. L’alcool est la substance psycho-active la plus répandue, avec 45,6% des étudiants consommant de l'alcool au moins 2 à 4 fois par mois. La consommation de tabac est également importante, bien qu’une baisse soit observée ; les étudiants les plus âgés sont ceux qui fument le plus.

Voir le communiqué de pressse sur le site de l'USEM

Voir le dossier de presse sur le site de l'USEM

Voir la synthèse  sur le site de l'USEM

Méningite en Seine-Maritime

Invs, Cellule interrégionale d'épidémiologie de Haute-Normandie, Nord-Pas-de-Calais-Picardie. Situation épidémiologique des infections invasives à méningocoques (IIM) en seine Maritime et dans la Somme prenant en compte les cas survenus jusqu'au 31 mai 2009. Saint Maurice : INVS, 18 juin 2009, 13 p

Voir le document sur le site de l'Invs

L'invs propose une actualisation régulière des données concernant la méningite sur le département de Seine Maritime, vous pouvez les consulter à l'adresse suivante : http://www.invs.sante.fr/display/?doc=surveillance/iim/index.htm

La dépression en France. Enquête Anadep 2005

Chan Chee C., Beck F., Sapinho D., Guilbert P et al. La dépression en France. Enquête Anadep 2005. Saint-Denis : Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (INPES), 2009, 203 p.

Anadep est la plus vaste enquête par sondage en population générale sur le thème de la dépression en France. Elle a été lancée en 2005 par l’Institut National de Prévention et d’Education pour la Santé (Inpes). Anadep a été conçue dans le cadre du plan Psychiatrie et Santé mentale (PPSM) 2005-2008 mis en oeuvre par les pouvoirs publics en préparation de la première grande campagne sur la dépression de l’Inpes. L’Inpes présente les résultats de cette enquête sous la forme d’un ouvrage intitulé « La dépression en France 2005 / Enquête Anadep ». Mesurer à grande échelle un phénomène aussi complexe que la dépression a pour objectif d’établir une estimation du nombre de personnes affectées par cette maladie hors du contexte clinique, de repérer des facteurs associés (liés à l’environnement social ou familial) et d’identifier la perception du grand public face à la dépression.

Voir le document sur le site de l’INPES

Voir le dossier de presse sur le site de l’INPES

Bien dormir, mieux vivre

L’Inpes lance le premier guide pratique grand public « Bien dormir, mieux vivre » qui vise à aider les Français à développer un sommeil de meilleure qualité en donnant des conseils adaptés à chaque profil de dormeur.

98 % des Français ont une représentation positive du sommeil et 86 % l’associent à un moment de plaisir, selon un sondage mené en 2007¹. Si la plupart d’entre eux a l’intuition que le sommeil est bon pour la santé, 45 % estiment ne pas dormir assez ; 17 % sont d’ailleurs en dette chronique de sommeil et 12 % insomniaques.

Bien dormir relève parfois du défi… Nos styles de vie et nos horaires de travail impliquent souvent des temps de repos irréguliers. Quand s’ajoutent à cela la naissance d’un enfant, le stress, le bruit, etc., bénéficier des bienfaits d’un sommeil récupérateur n’est pas si simple. Or, dormir bien et suffisamment permet de faire face à chaque nouvelle journée. Le sommeil est une fonction biologique vitale dans laquelle nous puisons notre énergie. C’est un facteur majeur d’équilibre physique et psychologique, il est indispensable pour réduire le stress.

Etre à l'écoute de ses besoins pour développer sa propre stratégie de sommeil

Nous ne sommes pas tous égaux face au sommeil. Le guide « Bien dormir, mieux vivre » a été conçu afin que chaque type de dormeur (couche-tôt, lève-tard, gros ou petit dormeur, etc.) puisse trouver facilement des conseils qui lui conviennent.
Notre profil en tant que dormeur et les particularités de notre sommeil (nombre d’heures nécessaires, durée des cycles, etc.) sont déterminés génétiquement. Le guide invite à être à l’écoute de ses besoins pour bien respecter le rythme de son horloge biologique. Paupières lourdes, bâillements, étirements ? Ce sont les signes annonciateurs du sommeil… il ne faut pas lutter et plutôt aller se coucher !
Bien dormir peut être un véritable apprentissage et susciter de nombreuses interrogations : « Les heures « dormies » avant minuit comptent-elles double ? Que faire si l’on prend souvent l’avion ? Pourquoi faut-il éviter le sport le soir ? »…
Autant de questions auxquelles le guide apporte des réponses, permettant de mieux comprendre les mécanismes qui régissent notre sommeil.
Il permet également d’identifier les différentes causes qui peuvent troubler le sommeil, telles que le bruit et le stress et propose des solutions pour les limiter. Par exemple en préparant l’endormissement. Lecture, relaxation, musique douce : à chacun ses rituels pour créer un climat propice à la détente et à une bonne nuit de sommeil.

Télécharger le guide sur le site de l'Inpes

Document bientôt disponible dans les centres de documentation du CRES Haute-Normandie et dans les points relais documentaires en éducation pour la santé

L’Inpes lance le premier guide pratique grand public « Bien dormir, mieux vivre » qui vise à aider les Français à développer un sommeil de meilleure qualité en donnant des conseils adaptés à chaque profil de dormeur.

98 % des Français ont une représentation positive du sommeil et 86 % l’associent à un moment de plaisir, selon un sondage mené en 2007¹. Si la plupart d’entre eux a l’intuition que le sommeil est bon pour la santé, 45 % estiment ne pas dormir assez ; 17 % sont d’ailleurs en dette chronique de sommeil et 12 % insomniaques.

Bien dormir relève parfois du défi… Nos styles de vie et nos horaires de travail impliquent souvent des temps de repos irréguliers. Quand s’ajoutent à cela la naissance d’un enfant, le stress, le bruit, etc., bénéficier des bienfaits d’un sommeil récupérateur n’est pas si simple. Or, dormir bien et suffisamment permet de faire face à chaque nouvelle journée. Le sommeil est une fonction biologique vitale dans laquelle nous puisons notre énergie. C’est un facteur majeur d’équilibre physique et psychologique, il est indispensable pour réduire le stress.

Etre à l'écoute de ses besoins pour développer sa propre stratégie de sommeil

Nous ne sommes pas tous égaux face au sommeil. Le guide « Bien dormir, mieux vivre » a été conçu afin que chaque type de dormeur (couche-tôt, lève-tard, gros ou petit dormeur, etc.) puisse trouver facilement des conseils qui lui conviennent.
Notre profil en tant que dormeur et les particularités de notre sommeil (nombre d’heures nécessaires, durée des cycles, etc.) sont déterminés génétiquement. Le guide invite à être à l’écoute de ses besoins pour bien respecter le rythme de son horloge biologique. Paupières lourdes, bâillements, étirements ? Ce sont les signes annonciateurs du sommeil… il ne faut pas lutter et plutôt aller se coucher !
Bien dormir peut être un véritable apprentissage et susciter de nombreuses interrogations : « Les heures « dormies » avant minuit comptent-elles double ? Que faire si l’on prend souvent l’avion ? Pourquoi faut-il éviter le sport le soir ? »…
Autant de questions auxquelles le guide apporte des réponses, permettant de mieux comprendre les mécanismes qui régissent notre sommeil.
Il permet également d’identifier les différentes causes qui peuvent troubler le sommeil, telles que le bruit et le stress et propose des solutions pour les limiter. Par exemple en préparant l’endormissement. Lecture, relaxation, musique douce : à chacun ses rituels pour créer un climat propice à la détente et à une bonne nuit de sommeil.

Télécharger le guide sur le site de l'Inpes

Document bientôt disponible dans les centres de documentation du CRES Haute-Normandie et dans les points relais documentaires en éducation pour la santé

Sauvons la biodiversité… à notre porte . EXposition de l'AREHN

  Du 15 juin au 11 octobre 2009

Le panda, l’orang-outang, les baleines jouissent d’une bonne cote de popularité. La protection de ces espèces emblématiques est évidemment un devoir pour l’humanité. Mais l’enjeu majeur de la biodiversité se situe très certainement… à notre porte.
Abeilles, vers de terre, fleurs des bords de chemins, petits animaux des mares, des haies ou des jardins sont également menacés. Or, cette nature "ordinaire" joue un rôle fondamental, non seulement dans la qualité de notre cadre de vie, mais aussi dans l’équilibre des écosystèmes et la production agricole ou forestière.

L’expo de l’AREHN veut faire de chacun d’entre nous un acteur de la biodiversité "au quotidien", ce qui est à la fois utile et fort agréable.
Pour s’en convaincre, le visiteur pourra admirer dans la cour du Cloître des Pénitents une parcelle de fleurs sauvages spécialement implantée à cette occasion, et un magnifique abri à insectes.

Le lien étroit entre la richesse de la flore et celle de la faune est un des messages essentiels de cette exposition, qui intéressera particulièrement les jardiniers et les amoureux de la nature.

Visites commentées

Si vous souhaitez une visite commentée, merci de prendre rendez-vous auprès de Guillaume Salagnac (coordonnées dans l'encadré ci-dessous).
Les visites de l'exposition sont libres et gratuites.

Animations scolaires

1 classe par animation (30 élèves maximum).
4 ateliers.
Public : classes de primaire (à partir du CE1).
Durée : 1h à 1h30.
Contact : Guillaume Salagnac (coordonnées dans l'encadré ci-dessous).

Ateliers

Les petites bêtes de la litière
Observation, à la loupe binoculaire, de la macrofaune du sol.

Des vers de terre très actifs
Grâce à un lombriscope créé par l’Arehn, on peut se rendre compte de l’importance de l’activité des vers de terre dans le cycle du sol.

Des fleurs sauvages au jardin
L'Arehn a réalisé un parterre de fleurs sauvages favorables à la faune.

Le questionnaire
Afin d’approfondir leurs connaissances dans le domaine de la biodiversité, les élèves rempliront un questionnaire en cherchant les réponses sur les panneaux de l’exposition.

Informations pratiques

Dates : du 15 juin au 11 octobre 2009
Horaires : tous les jours (sauf le lundi) de 10h à 12h et de 14h à 18h.
Lieu : Cloître des Pénitents, 8, allée Daniel-Lavallée (48, rue Saint-Hilaire), Rouen
Contact : Guillaume Salagnac - 02 35 15 78 02  [email protected]

Entrée libre et gratuite.

Le lundi 15 juin 2009 : 4ème Journée Mondiale de lutte contre la maltraitance des personnes âgées

Un sondage réalisé par "TNS Sofres" pour la Fédération Hospitalière de France vient nous rappeler qu'une grande majorité de Français (78 %) pense que "l'on ne parle pas assez des problèmes et de la prise en charge des personnes âgées". Cette opinion étant en constante augmentation: 63 % en 2005 et 71 % en 2007.
Ce sondage vient confirmer, s'il en était besoin, la juste nécessité d'un engagement commun dans un domaine qui touche chacun d'entre nous. Cette année, l'AFBAH, ALMA France et les petits frères des Pauvres ont décidé d'unir leurs efforts et d'amplifier leur engagement dans la lutte contre la maltraitance des personnes âgées.

Voir le communiqué de presse sur le site des Petits frères des pauvres

Les jeunes et la violence. Pour une prévention efficace dans la famille, l’école, l’espace social et les médias (document suisse)

Conseil fédéral suisse. Les jeunes et la violence. Pour une prévention efficace dans la famille, l’école, l’espace social et les médias. Berne : Conseil fédéral suisse, 2009, 94 p.

Si l'ampleur de la violence juvénile et son évolution ne font pas l'unanimité parmi les experts, il est certain que les actes de violences imputables à des jeunes restent le fait d'une petite minorité. Les actes de violence ayant toutefois un impact majeur sur les victimes, sur les auteurs et sur l'ensemble de la société, il est important de prendre des mesures pour s'y opposer. Ce rapport suisse sur la prévention examine quatre champs d'action - la famille, l'école, l'espace social et les médias. La violence juvénile est un phénomène complexe. Les facteurs d'influence, de risques et de protection, interviennent dès la petite enfance et tout au long du parcours de vie. Il est donc important de coordonner les acteurs concernés à ces différentes étapes de vie, de renforcer la prévention et de la combiner avec l'intervention et la répression.

Voir le document sur le site de la confédération suisse

Politique en faveur des jeunes

Demuynck C. Rapport d’information n° 436 fait au nom de la mission commune d’information sur la politique en faveur des jeunes. Paris : Sénat, 2009, 263 p.

Les jeunes se trouvent donc aujourd’hui confrontés à des problèmes structurels comme conjoncturels de nature très diverse, que votre mission commune d’information a souhaité étudier : une orientation scolaire et universitaire, et une insertion professionnelle déficientes ; des ressources le plus souvent modestes, voire insuffisantes ; un accès difficile à un logement autonome, une santé globalement bonne, mais qui souffre notamment des insuffisances de l’approche préventive des systèmes de soins dans notre pays ; des pratiques citoyennes5 qui mériteraient d’être davantage encouragées et des pratiques culturelles dont les évolutions inquiètent parfois les générations précédentes. La mission commune d’information a, pour chacun de ces sujets, exposé l’état des lieux, constaté l’abondance des dispositifs existants et avancé des propositions, afin à la fois de remédier aux insuffisances constatées et d’ouvrir l’horizon à une jeunesse inquiète.

Voir le document sur le site du Sénat

Campagne « M'ton dos ». Pour la prévention des rachialgies de l'enfant et de l'adolescent

Afin de prévenir ou dépister les problèmes de dos des enfants engendrés par le port d'un cartable trop lourd ou bien par une position de travail inconfortable, une campagne « M'ton dos » a été lancée par le Syndicat National des Masseurs Kinésithérapeutes Rééducateurs en partenariat avec la FCPE et l'association Grandir en France.

Voir le site internet de la campagne

Voir le texte de la campagne sur le site M’ton dos

Rapport de diagnostic local de santé. La santé observée, Pays Risle-Charentonne et Pays Risle-Estuaire

Callouet C. Réseau local de promotion de la santé Risle Charentonne - Risle Estuaire. Rapport de diagnostic local de santé. La santé observée, Pays Risle-Charentonne et Pays Risle-Estuaire. Bernay : Réseau local de promotion de la santé Risle Charentonne - Risle Estuaire, 2009, 53 p.

Le diagnostic de santé sur le territoire de deux pays, Risle-Charentonne et Risle-Estuaire s’est déroulé sur dix mois, a mobilisé une soixantaine d’institutions et associations, recueilli l’expression de plus de 200 habitants. Ce territoire montre une surmortalité par : suicide, accident de la circulation, maladies cardio-vasculaire (cardiopathies ischémiques : angine de poitrine, infarctus du myocarde, etc.), cancers (principalement des voies aéro-digestives supérieures), maladies liées à l’alcool. Au croisement du diagnostic de perception (ressenti) effectué avec les habitants, les professionnels, les bénévoles et du diagnostic objectivé (indicateurs de santé, sociaux), des grands axes stratégiques sont proposés pour améliorer la santé de tous : les addictions, la nutrition comprenant le volet alimentation et le volet activités physiques, le bien-être, la violence.

Voir le document sur le site de la Communauté de communes Risle-Charentonne

Lettre spéciale environnement du CRAES/CRIPS Aquitaine

Cette lettre spécial environnement  propose une sélection de documents en ligne sur les thèmes suivants : Campagnes, Concours & Journées de prévention. Enquêtes & épidémiologie. Législation & politique de prévention. Agenda 21. Développement durable. Education au développement durable. Evénements climatiques. Pollution atmosphériques & qualité de l’air. Ecomobilité. Ondes & Radiofréquences. Gestion des déchets. Guides & outils pédagogiques. Sites internet interactifs. Sites clés sur l’environnement.

Voir le document sur le site du CRAES-CRIPS Aquitaine

Plan national canicule 2009

Canicule - Personnes agees - INPES
envoyé par sante-jeunesse-sports. - .

Le plan national canicule dont l’élaboration est pilotée par la direction générale de la santé comporte trois niveaux :

1 - le niveau de veille saisonnière, automatiquement déclenché du 1er juin au 31 août :

• un point météorologique est fait quotidiennement au ministère, et si la situation l’exige, les autorités sanitaires alertent les départements concernés sur l’opportunité de passer au niveau supérieur du plan ;
• le numéro vert d’information et de communication (0800 06 66 66) entre en vigueur.

2 - le niveau de mise en garde et actions :

• il est déclenché par les préfets de département concernés lorsque les conditions météorologiques l’exigent ;
• il induit la mise en œuvre sur le terrain de mesures de prévention et de gestion de l’épisode caniculaire dans les établissements de santé, les établissements sociaux et médico-sociaux, les communes, etc.
• à l’échelon départemental ou national, certains médias peuvent être réquisitionnés afin de diffuser des messages de prévention. Le dispositif a été revu et amélioré pour mieux cibler le public à risque (travailleurs et personnes âgées) ;
• les données sanitaires sont remontées quotidiennement par les départements concernés au ministère.

3 - le niveau de mobilisation maximale :

• il est déclenché sur instruction du Premier ministre dans le cas où la canicule est aggravée par des effets collatéraux (rupture de l’alimentation électrique, pénurie d’eau potable, saturation des établissements de santé…).

Le plan s’appuie sur quatre grands piliers :

• les mesures qui seront mises en œuvre pour assurer la permanence des soins et l’organisation de l’offre de soins, tant au niveau des établissements de santé qu’au niveau de la médecine libérale. A cet égard, une rencontre avec les représentants des médecins urgentistes a été organisée le 20 mai dernier afin de présenter l’ensemble du dispositif ;

• les mesures de prévention des effets sanitaires d’une vague de chaleur ;

• les mesures de gestion en cas de survenue d’une canicule ;

• la solidarité avec la mobilisation importante des associations et des citoyens, en particulier grâce au registre des personnes fragiles ou isolées tenus par les communes.

Par ailleurs, les mesures préparatoires essentielles qui prévalaient en 2008 sont reconduites en 2009. Elles portent sur :

• la protection des personnes âgées (en institution ou à domicile), des personnes handicapées, des jeunes enfants et des personnes sans abri ;

• les établissements de santé ;

• l’information du grand public et des salariés.

Plus d'information sur le site du Minsitère des sports et de la santé

Santé mentale, psychiatrie et périnatalité

Observatoire régional de la santé (ORS) Haute-Normandie., Villet H., Seremes M., Merlin-Bernard F. Santé mentale, psychiatrie et périnatalité. Volets I et II. Enquête auprès des services de PMI. Enquête auprès des maternités. Rouen : Observatoire régional de la santé (ORS) Haute-Normandie, mars 2008, 66 p.

La relation de la mère avec son bébé après l'accouchement est plus ou moins en continuité avec celle de la grossesse malgré la séparation de la naissance. Les liens mère-bébé prennent racine dans une relation de proximité, de reconnaissance et de langage dans laquelle le corps de l'enfant et de sa mère, les capacités sensorielles et motrices du nouveau-né, l'état psychique et physique maternel jouent un rôle essentiel. Une moindre aptitude du bébé à développer ses capacités et à soutenir les interactions avec sa mère, de même que l'atteinte psychique et l'histoire de la mère, peuvent entraver l'établissement des liens mère-bébé de bonne qualité et donc le développement psychique du bébé.

Voir le document sur le site de l’ORS Haute-Normandie

Opération « Savoir Nager » 2009

Cette opération organisée par le secrétariat d’Etat aux Sports et la Fédération française de natation a pour objectif de sensibiliser les enfants âgés de 7 à 12 ans à l’apprentissage de la natation. Véritable enjeu de société, « Savoir Nager » permettra aux enfants d’acquérir les capacités minimales pour assurer leur sécurité dans l’eau, capacités validées en fin d’apprentissage par le test Sauv’nage de l’Ecole de Natation Française.

Voir le document sur le site du Ministère de la santé et des sports

Baromètre FHF, les français et le grand âge. 5ème vague du Baromètre

TNS SOFRES., Fédération hospitalière de France (FHF). Baromètre FHF, les français et le grand âge. 5ème vague du Baromètre. Montrouge : TNS SOFRES , 2009, 28 p.

Depuis 2003, TNS Sofres réalise pour la Fédération Hospitalière de France le Baromètre Les Français et le grand âge. Ce dispositif d’études dresse de manière régulière l’état des lieux des perceptions et du rapport des Français au grand âge.

Voir le document sur le site de TNS SOFRES

Statistiques sanitaires mondiales 2009

Organisation mondiale de la santé (OMS). Statistiques sanitaires mondiales 2009. Genève : Organisation mondiale de la santé (OMS), 2009, 149 p.

Les Statistiques sanitaires mondiales 2 009 contiennent la compilation annuelle par l’OMS des données provenant de ses 193 Etats Membres et un résumé des progrès accomplis vers les objectifs et des cibles du Millénaire pour le développement (OMD) liés à la santé. Cette édition comprend également une nouvelle partie consacrée aux cas notifiés de maladies infectieuses sélectionnées.

Voir le document sur le site de l’OMS

Site Fil Santé Jeunes

Fil Santé Jeunes 3224 (numéro vert anonyme et gratuit) est complété par filsantejeunes.com. Ce site internet pour les jeunes de 12 à 25 ans les informe et les oriente dans tous les domaines de leur santé. Fil Santé Jeunes lance ce jeudi 28 mai 2009 la nouvelle version du site,

Voir le site www.filsantejeunes.com