Veille nutrition

Nutrition et inégalités de santé : illustrations québécoises

Pageau M. Nutrition et inégalités de santé : illustrations québécoises. in : La santé de l’homme, n° 399, 2009, pp 11-12.

Différentes régions du Québec mènent des actions de politique nutritionnelle en direction des populations les plus pauvres en subventionnant des actions et en soutenant des programmes notamment auprès des écoles. Mais, comme le rappelle l'auteur, la réduction des inégalités sociales dans l'alimentation a ses limites ; seule une politique sociale incluant des mesures liées au revenu, au transport, au logement… peut s'attaquer aux racines de ces inégalités.

Voir le document sur le site de l’INPES

Document disponible au CRES de Haute-Normandie

utrition et inégalités de santé : illustrations québécoises

Pageau M. Nutrition et inégalités de santé : illustrations québécoises. in : La santé de l’homme, n° 399, 2009, pp 11-12.

Différentes régions du Québec mènent des actions de politique nutritionnelle en direction des populations les plus pauvres en subventionnant des actions et en soutenant des programmes notamment auprès des écoles. Mais, comme le rappelle l'auteur, la réduction des inégalités sociales dans l'alimentation a ses limites ; seule une politique sociale incluant des mesures liées au revenu, au transport, au logement… peut s'attaquer aux racines de ces inégalités.

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Document disponible au CRES de Haute-Normandie

Les glaneurs alimentaires

Centre d’étude et de recherche sur la philanthropie (CerPhi)., Chris O., Nicolai C., Riffaut H. Les glaneurs alimentaires . Rapport d’étude qualitative remis à la DIIESES pour le Haut commissariat aux solidarités actives contre la pauvreté, le 9 janvier 2009. Paris : Centre d’étude et de recherche sur la philanthropie (CerPhi), 2009, 92 p.

Il n’existe pas, aujourd’hui, d’étude sociologique spécifique sur le phénomène du glanage, notamment alimentaire. Mais de nombreux articles de presse ont fait référence en 2008 au phénomène des « glaneurs » désignant sous ce terme des personnes qui, pour des raisons économiques, récupèrent de la nourriture à la fin des marchés, dans les poubelles des commerçants ou dans les containers des supermarchés. Les journalistes soulignent le fait que les glaneurs sont moins souvent des SDF que des mères célibataires, des retraités, des « travailleurs pauvres », des « personnes en situation précaire » ou des étudiants. Ils soulignent également la diversité et les évolutions des pratiques des commerçants face à ce phénomène : complicité pour certains, hostilité pour d’autres lors des fins de marché, javellisation des produits jetés par les hypermarchés.

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Réduire les inégalités face à l’obésité. Retour sur le 3e Congrès national des villes EPODE

Coordination nationale Ensemble Prévenons l'Obésité Des Enfants (EPODE). Nos défis pour demain : réduire les inégalités face à l’obésité. Retour sur le 3e Congrès national des villes EPODE. Synthèse. Coordination nationale EPODE (Ensemble Prévenons l'Obésité Des Enfants), novembre 2008, 8 pages.

Après 5 ans d’expérience, EPODE a décidé de compléter son dispositif en menant d’une part des actions complémentaires auprès des familles les plus exposées au risque d’obésité et d’autre part de définir des actions de prévention de l’obésité dès la grossesse. C’est autour de ces enjeux majeurs qu’a été menée la réflexion commune : ateliers thématiques de réflexion et de partage d’expériences, plénières et table ronde en présence de personnalités politiques intéressées et impliquées par le programme EPODE ainsi que de nombreux experts.

Voir le document sur le site d’ EPODE

Nos défis pour demain : réduire les inégalités face à l’obésité. Retour sur le 3e Congrès national des villes EPODE. Synthèse

Coordination nationale Ensemble Prévenons l'Obésité Des Enfants (EPODE). Nos défis pour demain : réduire les inégalités face à l’obésité. Retour sur le 3e Congrès national des villes EPODE. Synthèse. Coordination nationale EPODE (Ensemble Prévenons l'Obésité Des Enfants), novembre 2008, 8 pages.

Après 5 ans d’expérience, EPODE a décidé de compléter son dispositif en menant d’une part des actions complémentaires auprès des familles les plus exposées au risque d’obésité et d’autre part de définir des actions de prévention de l’obésité dès la grossesse. C’est autour de ces enjeux majeurs qu’a été menée la réflexion commune : ateliers thématiques de réflexion et de partage d’expériences, plénières et table ronde en présence de personnalités politiques intéressées et impliquées par le programme EPODE ainsi que de nombreux experts.

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Evaluation de l’action « Le p’tit déj’ c’est important ! »

Observatoire régional de la santé (ORS) Rhône-Alpes., Harrous S., Fontaine D. Evaluation de l’action « Le p’tit déj’ c’est important ! » organisée par la Fédération de l’Ardèche du Secours Populaire Français dans les écoles élémentaires de l’Ardèche. Lyon : Observatoire régional de la santé (ORS) Rhône-Alpes, 2008, 75 p.

L’action « le p’tit déj’ c’est important ! » est née en 2000 de la rencontre des préoccupations du service prévention de la Caisse Primaire d’Assurance Maladie, qui recueillait de nombreuses demandes d’intervention en milieu scolaire et avait constaté des déséquilibres alimentaires liés aux situations de précarité, et du Secours Populaire Français, dont le rôle est l’appui aux personnes en difficulté et qui est habilité pour intervenir à l’école. Les constats sur l’importance de l’obésité au niveau national ont été confirmés au niveau local par les médecins scolaires et la Direction Départementale des Affaires Sanitaires et Sociales : enfants obèses, enfants venant à l’école sans avoir déjeuné. D’autre part, la nourriture joue un rôle particulier pour les enseignants en tant qu’agent de convivialité et de lien avec les parents, et il est difficile pour eux de renoncer aux collations.

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Evaluation de l’action « Le p’tit déj’ c’est important ! »

Observatoire régional de la santé (ORS) Rhône-Alpes., Harrous S., Fontaine D. Evaluation de l’action « Le p’tit déj’ c’est important ! » organisée par la Fédération de l’Ardèche du Secours Populaire Français dans les écoles élémentaires de l’Ardèche. Lyon : Observatoire régional de la santé (ORS) Rhône-Alpes, 2008, 75 p.

L’action « le p’tit déj’ c’est important ! » est née en 2000 de la rencontre des préoccupations du service prévention de la Caisse Primaire d’Assurance Maladie, qui recueillait de nombreuses demandes d’intervention en milieu scolaire et avait constaté des déséquilibres alimentaires liés aux situations de précarité, et du Secours Populaire Français, dont le rôle est l’appui aux personnes en difficulté et qui est habilité pour intervenir à l’école. Les constats sur l’importance de l’obésité au niveau national ont été confirmés au niveau local par les médecins scolaires et la Direction Départementale des Affaires Sanitaires et Sociales : enfants obèses, enfants venant à l’école sans avoir déjeuné. D’autre part, la nourriture joue un rôle particulier pour les enseignants en tant qu’agent de convivialité et de lien avec les parents, et il est difficile pour eux de renoncer aux collations.

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Familles migrantes africaines : s’adapter sans renier sa culture

Centre de recherche et d’information nutritionnelles (CERIN)., De La Porte C. Familles migrantes africaines : s’adapter sans renier sa culture. in : Alimentation, santé & petit budget, n° 43, 2008, pp 9-10.

La migration perturbe l’alimentation des familles africaines en situation précaire, qui ont du mal à adopter de nouveaux repères. Le point sur la question avec Ferdinand Ezémbé, docteur en psychologie à l’université Paris X.

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Chômage et inactivité : quel impact sur les comportements alimentaires ?

Centre de recherche et d’information nutritionnelles (CERIN)., De La Porte C. Chômage et inactivité : quel impact sur les comportements alimentaires ?. in : Alimentation, santé & petit budget, n° 43, 2008, pp 7-8.

Associées aux difficultés financières, l’inactivité entraine parfois un repli sur soi et un isolement défavorables aux activités de la vie quotidienne et aux comportements alimentaires. Décryptage et pistes à suivre pour aider les publics précarisés à retrouver l’envie de se mettre à table.

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Familles migrantes africaines : s’adapter sans renier sa culture

Centre de recherche et d’information nutritionnelles (CERIN)., De La Porte C. Familles migrantes africaines : s’adapter sans renier sa culture. in : Alimentation, santé & petit budget, n° 43, 2008, pp 9-10.

La migration perturbe l’alimentation des familles africaines en situation précaire, qui ont du mal à adopter de nouveaux repères. Le point sur la question avec Ferdinand Ezémbé, docteur en psychologie à l’université Paris X.

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