Veille nutrition

L'assiette du lundi

Il s'agit d'une proposition très simple s'inscrivant dans le quotidien de chacun. Le choix du lundi est symbolique de ces moments où rien ne joue, ou tout semble se fondre inexorablement dans le SUBIR plutôt que dans l'AGIR, dans le BANAL ou de l'habituel plutôt que dans l'EXCEPTIONNEL...Se nourrir ( en semaine) peut apparaître comme un des actes les plus répétitifs, les plus usant...
C'est pourquoi considérant que l'art et l'imaginaire doivent s'inscrire dans tous les instants de notre vie et pas seulement à des moments particuliers, dans des lieux particuliers, nous invitons, autour du thème de "l'assiette du lundi", tous ceux qui le désirent, à montrer qu'il n'est pas question de nous laisser dévorer par le poids des jours. A montrer que nous avons toujours dans notre besace cette capacité à métamorphoser l'ordinaire, à faire des pieds de nez à la réalité, à nous moquer des préjugés, des stéréotypes qui s'obstinent à vouloir nous renvoyer une image triste de nous-mêmes, à faire d'un lundi un lundi et rien d'autre. En somme à ne pas vouloir que l'on soit dans notre assiette...
Une façon aussi de signifier que vivaces restent nos yeux et nos esprits et par là même notre capacité à contester.

Sur le site de Téatr'éprouvete

La question alimentaire « Mondialisation Uniformisation Modernité du modèle alimentaire français

Observatoire Cniel des habitudes alimentaires (OCHA). La question alimentaire « Mondialisation Uniformisation Modernité du modèle alimentaire français . Paris : Observatoire Cniel des habitudes alimentaires (OCHA), 2008, 48 p.

Les réponses des Français, interrogés sur les mots qu'ils associent avec "faire la cuisine" : les mots les plus positifs sont donnés dans les régions où il y a le moins de surpoids et d'obésité et inversement ! Des valeurs essentielles à transmettre ... Notre façon de penser l'alimentation n'est pas seulement fonctionnelle : chez nous, cuisiner c'est donner et le repas c'est partager. Même s'il se simplifie, le repas, principale occasion de consommation de nos produits, résiste bien. Le "paradoxe français", c'est penser d'abord goût, qualité, diversité, convivialité ... avec pour effet « secondaire » que c'est bon pour notre santé ! En plein débat sur la future PAC (Politique Agricole Commune), ce document de l'Ocha permet de comprendre pourquoi nous avons intérêt à défendre ces atouts que nous devons à une agriculture aussi variée que notre géographie et nos paysages et qui méritent que nous nous battions pour les conserver, à Bruxelles et à l'OMC et d'abord en famille !

Voir le document sur le site de l'OCHA

La télévision est-elle compatible avec le bien-manger ?

Centre de recherche et d’information nutritionnelles (CERIN)., de La Porte C. La télévision est-elle compatible avec le bien-manger ?. in : Alimentation, Santé & Petit budget., n° 44, janvier 2009, pp 4-6.

La télévision et les écrans en général ont bouleversé nos modes de vie et d’alimentation, surtout dans les milieux défavorisés où les enfants sont sous influence de l’écran qui concurrence l’autorité parentale. Décryptage.

Voir le document sur le site du CERIN

Alimentation. Se nourrir d’abord, se faire du bien ensuite

Hébel P., Centre de recherche pour l’étude et l’observation des conditions de vie (CREDOC) . Alimentation. Se nourrir d’abord, se faire du bien ensuite. in : Consommation et modes de vie, n°209, février 2008, 4 p.

En 2006, le ministère de l’Agriculture et de la Pêche a confié au CRÉDOC la réalisation d’un baromètre des perceptions alimentaires afin de cerner les attentes des consommateurs, qui reposent en partie sur des croyances et des représentations collectives. Les résultats de la deuxième vague (juillet 2007) révèlent que pour un Français sur cinq, se nourrir est d’abord une nécessité. La recherche du plaisir arrive en deuxième position mais, désormais, elle est presque rattrapée par une préoccupation : l’incidence de l’alimentation sur la santé.

Disponible sur le site du CREDOC

Baromètre de la perception de l’alimentation

Centre de recherche pour l’étude et l’observation des conditions de vie (CREDOC). Baromètre de la perception de l’alimentation. Baromètre 2.0 . Paris : Centre de recherche pour l’étude et l’observation des conditions de vie (CREDOC), 2007, 91 p.

Pour la deuxième année consécutive, le ministère a commandité une étude d’opinion auprès des Français sur leur perception de l’alimentation entre 2006 et 2007 : 4 Français sur 10 pensent que l’alimentation est avant tout une nécessité : le lien entre alimentation et santé a devancé la notion de plaisir. Les Français fréquentent moins les hyper et supermarchés (on passe de 75% à 74% entre 2006 et 2007). Aujourd’hui, le lieu d’approvisionnement est déterminé en fonction de la proximité géographique, du prix et de la qualité des produits vendus. En 2006, le premier critère de sélection était la qualité, puis le prix et enfin la proximité.  Pour juger de la qualité d’un produit alimentaire, les Français se fient à son goût, à son apparence et à son prix. Pour déterminer la qualité du produit, ils sont plus attentifs à son bénéfice santé qu’à la marque comme indicateur de qualité.  Globalement, les Français ont le sentiment que l’offre alimentaire s’est améliorée au cours des 10 dernières années, notamment en matière d’information sur les produits et sur la sécurité sanitaire. Mais ils se montrent critiques sur les évolutions en matière de goût et de prix. La très bonne qualité des aliments est ainsi nettement moins reconnue en 2007 par rapport à 2006.

Voir le document sur le site du Ministère de l’agriculture et de la pêche

Voir la synthèse du baromètre sur le site du Ministère de l’agriculture et de la pêche

Centre de recherche pour l’étude et l’observation des conditions de vie (CREDOC). Baromètre de la perception de l’alimentation. Baromètre 2.0 . Paris : Centre de recherche pour l’étude et l’observation des conditions de vie (CREDOC), 2007, 91 p.

Pour la deuxième année consécutive, le ministère a commandité une étude d’opinion auprès des Français sur leur perception de l’alimentation entre 2006 et 2007 : 4 Français sur 10 pensent que l’alimentation est avant tout une nécessité : le lien entre alimentation et santé a devancé la notion de plaisir. Les Français fréquentent moins les hyper et supermarchés (on passe de 75% à 74% entre 2006 et 2007). Aujourd’hui, le lieu d’approvisionnement est déterminé en fonction de la proximité géographique, du prix et de la qualité des produits vendus. En 2006, le premier critère de sélection était la qualité, puis le prix et enfin la proximité.  Pour juger de la qualité d’un produit alimentaire, les Français se fient à son goût, à son apparence et à son prix. Pour déterminer la qualité du produit, ils sont plus attentifs à son bénéfice santé qu’à la marque comme indicateur de qualité.  Globalement, les Français ont le sentiment que l’offre alimentaire s’est améliorée au cours des 10 dernières années, notamment en matière d’information sur les produits et sur la sécurité sanitaire. Mais ils se montrent critiques sur les évolutions en matière de goût et de prix. La très bonne qualité des aliments est ainsi nettement moins reconnue en 2007 par rapport à 2006.

Voir le document sur le site du Ministère de l’agriculture et de la pêche

Voir la synthèse du baromètre sur le site du Ministère de l’agriculture et de la pêche